Maquette plastique à monter JUNKERS Ju87R – 2/B – STUKA AIRFIX 1/48e

Maquette plastique à monter JUNKERS Ju87R – 2/B – STUKA AIRFIX 1/48e. Associé aux attaques redoutées de la Wehrmacht au début de la Seconde Guerre mondiale, le Ju87B Stuka était également un bombardier d'attaque maritime. Encore dans son emballage d'origine.

Le Junkers 1u87 Stuka est rapidement devenu l’une des armes les plus infâmes et redoutées de la Deuxième Guerre mondiale. Ce bombardier en piqué biplace entra en action dans les cieux au-dessus de l’Espagne pendant la guerre civile espagnole. C’est là où les premières variantes A et B s’avérèrent être une arme tactique très précise. Son brut strident produit par des sirènes spéciales ainsi que son train d’atterrissage à pantalons caractéristique semaient la terreur parmi les civils ennemis.

 

Même s’il avait l’air démodé, le Stuka disposait de certains modernes, en Pologne, des freins de piqué automatiques, mais dans l’ensemble sa conception était dépassée. Élans aux Pays-Bas, les Stukas opérèrent efficacement dans les cieux vides, mais au-dessus du sud de l’Angleterre lors de la bataille d’Angleterre ils souffrirent beaucoup en se heurtant à la féroce opposition des chasseurs de la RAF. Après leur retrait de cette première ligne, les Stuka furent utilisés aux Balkans et dans le désert de l’Ouest puis en Russie comme chasseurs de chars jusqu’à la fin de la Deuxième Guerre mondiale.

 

 

Bien que généralement associé aux attaques redoutées de la Wehrmacht au début de la Seconde Guerre mondiale, le Ju87B Stuka était également un bombardier d'attaque maritime très efficace. Capable d'effectuer des attaques de bombardement en piqué de précision contre n'importe quel navire allié, le Stuka a fait un lourd tribut à la navigation dans la Manche, en Afrique du Nord et en Méditerranée.

 

Le Stuka a également été utilisé par les forces aériennes d'Italie, de Roumanie, de Bulgarie et de Hongrie, et est resté au service de la Luftwaffe tout au long de la Seconde Guerre mondiale. Le piqué d'attaque du Stuka était si sévère qu'un certain nombre de fonctions automatiques ont dû être intégrées à la manœuvre.